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Comment devenir medecin ? #medical #docteurpgr Pour les lycéens, l’accès se fait via deux parcours proposés par les universités : le PASS (parcours d’accès spécifique santé) ou une L.AS (licence avec option accès santé). À noter : l'ensemble des universités ne proposent pas les deux parcours. L'admission en médecine s'effectue selon les résultats obtenus à l'issue du PASS ou de la LAS et les places disponibles en 2e année. Le 1er cycle : les bases du médical Pour les étudiants admis en médecine, le 1er cycle (2e et 3e années) vise à apporter les connaissances scientifiques nécessaires à l'exercice d'une profession médicale et à étudier l'homme sain et l'homme malade. Le programme porte notamment sur la sémiologie (étude des signes cliniques et des symptômes des maladies), la physiologie, l'anatomie et l'étude des agents infectieux (bactéries, virus, etc.). Les premières notions de pathologie et de pharmacologie apparaissent. S’y ajoutent de l'anglais médical et des enseignements comme l'histoire de la médecine. La pratique commence avec un stage infirmier de 4 semaines à temps plein. Puis, au minimum 12 semaines de stage à l'hôpital sont prévues sur les 2 ans. Tous les étudiants en médecine doivent réaliser un service sanitaire au cours de ce 1er cycle. En fin de 3e année, les étudiants obtiennent le DFGSM (diplôme de formation générale en sciences médicales), reconnu au niveau licence. Le 2e cycle : approfondissement et pratique clinique Le 2e cycle ou externat (4, 5 et 6e années) de médecine permet d'acquérir une formation médicale complète, axée sur les pathologies, leur thérapeutique et leur prévention. Au programme : gériatrie, appareil locomoteur, neurologie, cancérologie, pédiatrie, etc. Les étudiants acquièrent les bases de chaque spécialité médicale. Les externes sont à mi-temps en cours et à mi-temps à l'hôpital. Ils ont le statut d'étudiant hospitalier et touchent une rémunération variable selon l'avancée du cursus. Certains stages sont obligatoires (par exemple médecine d'urgence, chirurgie à l'hôpital, etc.), d'autres libres. Par ailleurs, au minimum 25 gardes (la nuit, le dimanche ou les jours fériés) sont à effectuer sur les 3 ans, principalement aux urgences. L'admission en 3e cycle repose sur un concours national. Celui-ci comprend : une évaluation des connaissances sous forme d'épreuves écrites ; une évaluation des compétences via les examens cliniques objectifs structurés (ECOS) ; la prise en compte du parcours de l'étudiant et de ses projets personnels. Les étudiants choisissent ensuite une spécialité et un lieu d’exercice selon leur classement. À la fin de la 6e année, les étudiants obtiennent le DFASM (diplôme de formation approfondie en sciences médicales), reconnu au niveau master. Le 3e cycle : vers une spécialité de médecine Il existe 44 spécialités de médecine : 13 spécialités chirurgicales (chirurgie vasculaire, gynécologie-obstétrique, etc.) ; 30 spécialités médicales (psychiatrie, pneumologie, radiologie et imagerie médicale, etc.) ; la biologie médicale. Selon les spécialités, le nombre de places ouvertes chaque année varie fortement : par exemple, en 2023-2024, il y avait 28 places en neurochirurgie, 509 places en anesthésie-réanimation, 3 645 places en médecine générale, etc. Le 3e cycle ou internat de médecine dure 4 à 6 ans. Il est organisé en trois phases : la phase socle (1 ou 2 ans) au cours de laquelle l'interne acquiert les compétences de base propres à l'exercice de sa spécialité ; la phase d'approfondissement (2 ou 3 ans) où l'interne poursuit sa formation et commence à préparer sa thèse ; la phase de consolidation (1 ou 2 ans), où l'interne acquiert le statut de docteur junior, qui le place en autonomie supervisée par un senior. Les internes effectuent des stages semestriels à temps plein à l'hôpital dans des services en lien avec leur spécialité, tout en conservant quelques enseignements théoriques.
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DocteurPGR
11 months ago
Le cancer du col de l’utérus est principalement dû à une infection persistante, d’une durée de 10 à 15 ans, par des virus appelés papillomavirus humains (virus du papillome humain ou HPV, abréviation de humanpapillomavirus) à haut risque et transmis par voie sexuelle. L’infection par un virus HPV est l'infection sexuelle transmissible la plus fréquente dans le monde (80 % des femmes sont infectées au moins une fois dans leur vie). Elle guérit le plus souvent spontanément. Mais dans 10 % des cas (notamment sous l’influence d’autres facteurs comme la précocité des rapports sexuels ou le tabagisme), le virus persiste au niveau de la muqueuse du col utérin et peut alors provoquer des modifications de l’épithélium appelées lésions précancéreuses, susceptibles d’évoluer vers un cancer. Les papillomavirus appartiennent à une famille comprenant de nombreux types de virus. Il existe 13 génotypes de HPV, dits à haut risque, en cause dans la survenue d'un cancer du col de l'utérus. Les virus les plus fréquemment en cause sont les HPV de type 16 et 18, présents dans plus de 70 % des cas de cancer du col de l’utérus. La transmission du virus se fait par contact avec la peau et les muqueuses, le plus souvent lors de rapports sexuels, avec ou sans pénétration. C’est pourquoi le préservatif, s’il permet de limiter le contact avec le virus, ne peut toutefois pas assurer une protection complète. Prévenir l'infection à papillomavirus humain par la vaccination La vaccination contre les papillomavirus humains est capitale pour prévenir le cancer du col de l'utérus. Cependant, le vaccin ne protège pas contre toutes les infections à papillomavirus. C’est pourquoi il est nécessaire, chez les femmes de 25 à 65 ans, même si elles sont vaccinées, de faire des frottis de dépistage selon des modalités qui dépendantes de l'âge.
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DocteurPGR
11 months ago
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